L'OEDICNEME ET LE CROCODILE : MEME COMBAT

L'OEDICNEME ET LE CROCODILE : MEME COMBAT

L'OEDICNEME ET LE CROCODILE : MEME COMBAT

En dehors de la saison de nidification ils continuent à vivre ensemble en belle harmonie…Rencontrés au bord de la rivière Mara en février 2019, avec Melting Pot ». (Julie Salmon)

“L'oedicnème et le crocodile” est une œuvre d’art réalisée par Julie Salmon grâce à plusieurs techniques : le gesso, l’encaustique et des encres sur du papier marouflé sur Capamount. Cette pièce unique de 72 x 280 cm représente un crocodile et un œdicnème criard. Les deux animaux sont côte à côte et semblent cohabiter dans une harmonie parfaite, sans danger.

La peinture est d’un tel réalisme qu’on dirait presque une photographie. Le crocodile est dessiné de manière très précise : on observe énormément de détails comme la séparation entre chaque écaille, la pointe de ses dents ou encore le jaune perçant de son oeil méfiant. L'oiseau paraît minuscule à côté du reptile mais lorsque l’on regarde de plus près, il est aussi finement représenté que lui. C’est une copie conforme de la réalité qui montre une fois de plus le grand travail d’étude des corps et de l’expression. L'œuvre dégage une atmosphère aride dûe à la couleur du fond qui est l’ocre. Une fois encore, Julie Salmon nous plonge en immersion dans son univers. 

"L’Oedicnème et le crocodile” is a work of art created by Julie Salmon. She used several techniques : gesso, encaustic and inks on muffled paper on Capamount. This unique piece measuring 72 x 280 cm depicts a crocodile and a gaudy oedicnemus. They seem to live in perfect harmony, without danger.

The painting is so realistic that it almost looks like a photograph. The crocodile is drawn very precisely: we can see a lot of details like the separation between each scale, the tip of its teeth or the yellow of its suspicious eye. 

The bird looks tiny next to the reptile, but when we look closer we can see it’s a true copy of reality that shows once again the great work of study of bodies and expression. The work exudes an arid atmosphere due to the color of the background which is ochre. Once again, Julie Salmon immerses us in her world.

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SALMON Julie Voir la page de SALMON Julie

CARACTÉRISTIQUES

Technique(s)
Peinture
Disponibilité
Non, mais vous pouvez nous contacter pour étudier la réalisation d'une œuvre dans le même goût.
Nombre d'exemplaires
Pièce unique
Dimensions
72 x 280 cm
Format
Grand
Fourchette de prix
5 000 à 10 000 €

En dehors de la saison de nidification ils continuent à vivre ensemble en belle harmonie…Rencontrés au bord de la rivière Mara en février 2019, avec Melting Pot ». (Julie Salmon)

“L'oedicnème et le crocodile” est une œuvre d’art réalisée par Julie Salmon grâce à plusieurs techniques : le gesso, l’encaustique et des encres sur du papier marouflé sur Capamount. Cette pièce unique de 72 x 280 cm représente un crocodile et un œdicnème criard. Les deux animaux sont côte à côte et semblent cohabiter dans une harmonie parfaite, sans danger.

La peinture est d’un tel réalisme qu’on dirait presque une photographie. Le crocodile est dessiné de manière très précise : on observe énormément de détails comme la séparation entre chaque écaille, la pointe de ses dents ou encore le jaune perçant de son oeil méfiant. L'oiseau paraît minuscule à côté du reptile mais lorsque l’on regarde de plus près, il est aussi finement représenté que lui. C’est une copie conforme de la réalité qui montre une fois de plus le grand travail d’étude des corps et de l’expression. L'œuvre dégage une atmosphère aride dûe à la couleur du fond qui est l’ocre. Une fois encore, Julie Salmon nous plonge en immersion dans son univers. 

"L’Oedicnème et le crocodile” is a work of art created by Julie Salmon. She used several techniques : gesso, encaustic and inks on muffled paper on Capamount. This unique piece measuring 72 x 280 cm depicts a crocodile and a gaudy oedicnemus. They seem to live in perfect harmony, without danger.

The painting is so realistic that it almost looks like a photograph. The crocodile is drawn very precisely: we can see a lot of details like the separation between each scale, the tip of its teeth or the yellow of its suspicious eye. 

The bird looks tiny next to the reptile, but when we look closer we can see it’s a true copy of reality that shows once again the great work of study of bodies and expression. The work exudes an arid atmosphere due to the color of the background which is ochre. Once again, Julie Salmon immerses us in her world.

BIOGRAPHIE

Julie SALMON a grandi à Budapest, où à priori rien ne la prédestinait à la rencontre avec les animaux. À trois ans, un « exil » d'une année (pour cause d'épidémie) la plonge au cœur du monde rural, au contact étroit des habitants de l'étable : veau, vache, cochons, cheval, poules, chiens et chats. Elle passe les jours d'hiver dans la chaleur de l'étable, dans la mangeoire commune, avec interdiction formelle de quitter ce perchoir à cause du risque d'être piétinée.

Elle connait par cœur l'épi du front de la vache, ses grands cils, ses oreilles mobiles, sa langue râpeuse, son haleine de foin, le doux museau velouté du cheval, l'odeur et le contact délicat des porcelets nouveau nés qu'on lui pose dans les bras comme des poupées. De retour à la capitale les visites du jardin Zoologique prennent le relais

Depuis l'âge de cinq ans elle dessine. Le second exil, le plus déterminant, la conduit en France à dix ans. Les Beaux Arts lui sont interdits, vocation contrariée car « non sérieuse » et elle devient médecin. « Tu verras après.... » Elle exerce l'anesthésie pendant ... toute une vie.

Durant sa pratique hospitalière l'illustration médicale fournit la solution de remplacement : films d'animation et manuels d'anesthésie loco-régionale portent sa griffe. Pour échapper au carcan de l'illustration elle se tourne vers le dessin du nu, (« anatomie du corps humain ») d'après modèle vivant, à l'École des Arts Décoratifs de Strasbourg, en auditrice libre. Lors d'un séjour de deux années au Québec, Lorraine Bénic l'initie à la gravure en creux dans son atelier de l'UQUAM.

De ses fréquents voyages en Afrique de l'ouest et au Kenya elle rapporte une moisson d'images qui la hantent : l'Afrique, ses gens, ses animaux. Ils seront ses sources : croquis et photos dormiront jusqu'à la retraite.

Fin 2009 elle prend sa retraite et se consacre entièrement au dessin à la peinture et à la gravure (taille douce et gravure en relief).
Nus et portraits d'après modèle vivant sont ses « gammes », les animaux ses travaux aboutis.

Sa première exposition a eu lieu en octobre 2011 à l'IRCAD à Strasbourg (Institut de Recherche contre les Cancers de l'Appareil Digestif), devant l'équipe qui l'a connue comme médecin anesthésiste.