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GROSSE FATIGUE (ours brun)

GROSSE FATIGUE (ours brun)

GROSSE FATIGUE (ours brun)

Grizzly mâle du Zoo de San Diego. Sa nourriture étant assurée, il ne va pas « hiverner », mais pendant les mois d’hiver une certaine lenteur le submerge: chaque pas lui coûte. Donc il reste assis au soleil.

Ce grand tableau de 100 x 100 cm est une œuvre de l’artiste Julie Salmon. Elle a utilisé deux techniques, tout d’abord l’encaustique qui est une préparation à base de cire et d’essence servant à mélanger les pigments et de protéger le résultat obtenu, puis elle s’est également servie de craies grasses pour les touches de couleur.

C’est en fait le grizzly mâle du zoo de San Diego qu’elle dessiné. Ce dernier est assis sur le sol, l’air épuisé. Cette lassitude est due à la lenteur qui le gagne l’hiver puisqu’il n’hiberne pas, rendant chaque pas douloureux. Alors au lieu de marcher, l’animal attend sagement sous le soleil.

L’animal est très réaliste grâce aux nombreux détails que Julie Salmon lui a apportés : d’une part les couleurs se rapprochent de celles de la réalité et d’autre part l’artiste a pris le temps de représenter chaque partie du corps de l’animal en ne négligeant aucun détail.

This large painting of 100 x 100 cm is the work of the artist Julie Salmon. She used two techniques :  encaustic, which is a wax-fuel preparation used to mix the pigments and protect the result, and then she also used greasy chalk for the color strokes.

It’s the male grizzly bear from the San Diego Zoo that she drew. He sits on the floor, exhausted. This weariness is due to the slowness that gains him in winter since he does not hibernate, making every step painful. So instead of walking, the animal waits wisely in the sun.

The animal is very realistic thanks to the many details that Julie Salmon has brought to it: on the one hand the colors are close to those of reality and on the other hand the artist has taken the time to depict every part of the animal’s body without neglecting any detail.

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SALMON Julie Voir la page de SALMON Julie

CARACTÉRISTIQUES

Technique(s)
Peinture
Disponibilité
Oui, l'œuvre est disponible
Nombre d'exemplaires
Œuvre originale, pièce unique. Vendue avec un certificat d'authenticité signé par l'Artiste
Dimensions
100 x 100 cm
Format
Grand
Fourchette de prix
3 000 à 4 000€
JSLMO015

Grizzly mâle du Zoo de San Diego. Sa nourriture étant assurée, il ne va pas « hiverner », mais pendant les mois d’hiver une certaine lenteur le submerge: chaque pas lui coûte. Donc il reste assis au soleil.

Ce grand tableau de 100 x 100 cm est une œuvre de l’artiste Julie Salmon. Elle a utilisé deux techniques, tout d’abord l’encaustique qui est une préparation à base de cire et d’essence servant à mélanger les pigments et de protéger le résultat obtenu, puis elle s’est également servie de craies grasses pour les touches de couleur.

C’est en fait le grizzly mâle du zoo de San Diego qu’elle dessiné. Ce dernier est assis sur le sol, l’air épuisé. Cette lassitude est due à la lenteur qui le gagne l’hiver puisqu’il n’hiberne pas, rendant chaque pas douloureux. Alors au lieu de marcher, l’animal attend sagement sous le soleil.

L’animal est très réaliste grâce aux nombreux détails que Julie Salmon lui a apportés : d’une part les couleurs se rapprochent de celles de la réalité et d’autre part l’artiste a pris le temps de représenter chaque partie du corps de l’animal en ne négligeant aucun détail.

This large painting of 100 x 100 cm is the work of the artist Julie Salmon. She used two techniques :  encaustic, which is a wax-fuel preparation used to mix the pigments and protect the result, and then she also used greasy chalk for the color strokes.

It’s the male grizzly bear from the San Diego Zoo that she drew. He sits on the floor, exhausted. This weariness is due to the slowness that gains him in winter since he does not hibernate, making every step painful. So instead of walking, the animal waits wisely in the sun.

The animal is very realistic thanks to the many details that Julie Salmon has brought to it: on the one hand the colors are close to those of reality and on the other hand the artist has taken the time to depict every part of the animal’s body without neglecting any detail.

BIOGRAPHIE

Julie SALMON a grandi à Budapest, où à priori rien ne la prédestinait à la rencontre avec les animaux. À trois ans, un « exil » d'une année (pour cause d'épidémie) la plonge au cœur du monde rural, au contact étroit des habitants de l'étable : veau, vache, cochons, cheval, poules, chiens et chats. Elle passe les jours d'hiver dans la chaleur de l'étable, dans la mangeoire commune, avec interdiction formelle de quitter ce perchoir à cause du risque d'être piétinée.

Elle connait par cœur l'épi du front de la vache, ses grands cils, ses oreilles mobiles, sa langue râpeuse, son haleine de foin, le doux museau velouté du cheval, l'odeur et le contact délicat des porcelets nouveau nés qu'on lui pose dans les bras comme des poupées. De retour à la capitale les visites du jardin Zoologique prennent le relais

Depuis l'âge de cinq ans elle dessine. Le second exil, le plus déterminant, la conduit en France à dix ans. Les Beaux Arts lui sont interdits, vocation contrariée car « non sérieuse » et elle devient médecin. « Tu verras après.... » Elle exerce l'anesthésie pendant ... toute une vie.

Durant sa pratique hospitalière l'illustration médicale fournit la solution de remplacement : films d'animation et manuels d'anesthésie loco-régionale portent sa griffe. Pour échapper au carcan de l'illustration elle se tourne vers le dessin du nu, (« anatomie du corps humain ») d'après modèle vivant, à l'École des Arts Décoratifs de Strasbourg, en auditrice libre. Lors d'un séjour de deux années au Québec, Lorraine Bénic l'initie à la gravure en creux dans son atelier de l'UQUAM.

De ses fréquents voyages en Afrique de l'ouest et au Kenya elle rapporte une moisson d'images qui la hantent : l'Afrique, ses gens, ses animaux. Ils seront ses sources : croquis et photos dormiront jusqu'à la retraite.

Fin 2009 elle prend sa retraite et se consacre entièrement au dessin à la peinture et à la gravure (taille douce et gravure en relief).
Nus et portraits d'après modèle vivant sont ses « gammes », les animaux ses travaux aboutis.

Sa première exposition a eu lieu en octobre 2011 à l'IRCAD à Strasbourg (Institut de Recherche contre les Cancers de l'Appareil Digestif), devant l'équipe qui l'a connue comme médecin anesthésiste.