Débuts difficiles-Orignal femelle et son petit_Julie_Salmon_Artiste_Animalier_Animal_Art_Gallery_Paris

DEBUTS DIFFICILES (élans)

DEBUTS DIFFICILES (élans)

DEBUTS DIFFICILES (élans)

“Débuts difficiles” est une œuvre assez grande de 180 x 140 cm qui représente un élan et son petit. L’élan est manifestement une femelle car elle n’a pas de bois. Elle se tient debout sur ses quatre pattes et tourne la tête vers la gauche. Que regarde-t-elle ? Qu’a-t-elle vu ? Son petit, lui, est nous tourne le dos et se dirige vers sa mère.

Les deux animaux n’ont pas la même couleur de fourrure : celle de la mère est brune et grise, celle du petit est rousse. Comme le titre de l’œuvre l’indique, les débuts du petit sont difficiles. Ses pattes avant écartées témoignent de sa recherche d’équilibre, et sa tête baissée peut-être de sa fatigue ou de sa lassitude. L’arrière-plan laiteux laisse penser qu’ils se trouvent dans un environnement enneigé : les élans vivent effectivement dans le nord de l’Amérique, de l’Europe et de la Russie, des lieux aux climats froids qui doivent davantage fatiguer le faon dans ses premiers jours.

“Débuts difficiles” is a rather large 180 x 140 cm work that represents a moose and its small size. The elk is clearly a female because it has no wood. It stands on its four legs and turns its head to the left. What is she looking at? What did she see? Her little one is turning his back on us and heading towards his mother.

The two animals do not have the same colour of fur: the mother’s colour is brown and grey, the baby’s colour is red. As the title of the work indicates, the beginnings of the boy are difficult. His outstretched forelegs are a testament to his search for balance, and his head bent down perhaps because of fatigue or weariness. The milky background suggests that they are in a snowy environment: the elks actually live in the north of America, Europe and Russia, places with cold climates that must tire the fawn more in its early days.

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SALMON Julie Voir la page de SALMON Julie

CARACTÉRISTIQUES

Technique(s)
Peinture
Disponibilité
Oui, l'œuvre est disponible
Nombre d'exemplaires
Original - Pièce unique
Dimensions
180 x 140 cm
Format
Grand
Fourchette de prix
5 000 à 10 000 €

“Débuts difficiles” est une œuvre assez grande de 180 x 140 cm qui représente un élan et son petit. L’élan est manifestement une femelle car elle n’a pas de bois. Elle se tient debout sur ses quatre pattes et tourne la tête vers la gauche. Que regarde-t-elle ? Qu’a-t-elle vu ? Son petit, lui, est nous tourne le dos et se dirige vers sa mère.

Les deux animaux n’ont pas la même couleur de fourrure : celle de la mère est brune et grise, celle du petit est rousse. Comme le titre de l’œuvre l’indique, les débuts du petit sont difficiles. Ses pattes avant écartées témoignent de sa recherche d’équilibre, et sa tête baissée peut-être de sa fatigue ou de sa lassitude. L’arrière-plan laiteux laisse penser qu’ils se trouvent dans un environnement enneigé : les élans vivent effectivement dans le nord de l’Amérique, de l’Europe et de la Russie, des lieux aux climats froids qui doivent davantage fatiguer le faon dans ses premiers jours.

“Débuts difficiles” is a rather large 180 x 140 cm work that represents a moose and its small size. The elk is clearly a female because it has no wood. It stands on its four legs and turns its head to the left. What is she looking at? What did she see? Her little one is turning his back on us and heading towards his mother.

The two animals do not have the same colour of fur: the mother’s colour is brown and grey, the baby’s colour is red. As the title of the work indicates, the beginnings of the boy are difficult. His outstretched forelegs are a testament to his search for balance, and his head bent down perhaps because of fatigue or weariness. The milky background suggests that they are in a snowy environment: the elks actually live in the north of America, Europe and Russia, places with cold climates that must tire the fawn more in its early days.

BIOGRAPHIE

Julie SALMON a grandi à Budapest, où à priori rien ne la prédestinait à la rencontre avec les animaux. À trois ans, un « exil » d'une année (pour cause d'épidémie) la plonge au cœur du monde rural, au contact étroit des habitants de l'étable : veau, vache, cochons, cheval, poules, chiens et chats. Elle passe les jours d'hiver dans la chaleur de l'étable, dans la mangeoire commune, avec interdiction formelle de quitter ce perchoir à cause du risque d'être piétinée.

Elle connait par cœur l'épi du front de la vache, ses grands cils, ses oreilles mobiles, sa langue râpeuse, son haleine de foin, le doux museau velouté du cheval, l'odeur et le contact délicat des porcelets nouveau nés qu'on lui pose dans les bras comme des poupées. De retour à la capitale les visites du jardin Zoologique prennent le relais

Depuis l'âge de cinq ans elle dessine. Le second exil, le plus déterminant, la conduit en France à dix ans. Les Beaux Arts lui sont interdits, vocation contrariée car « non sérieuse » et elle devient médecin. « Tu verras après.... » Elle exerce l'anesthésie pendant ... toute une vie.

Durant sa pratique hospitalière l'illustration médicale fournit la solution de remplacement : films d'animation et manuels d'anesthésie loco-régionale portent sa griffe. Pour échapper au carcan de l'illustration elle se tourne vers le dessin du nu, (« anatomie du corps humain ») d'après modèle vivant, à l'École des Arts Décoratifs de Strasbourg, en auditrice libre. Lors d'un séjour de deux années au Québec, Lorraine Bénic l'initie à la gravure en creux dans son atelier de l'UQUAM.

De ses fréquents voyages en Afrique de l'ouest et au Kenya elle rapporte une moisson d'images qui la hantent : l'Afrique, ses gens, ses animaux. Ils seront ses sources : croquis et photos dormiront jusqu'à la retraite.

Fin 2009 elle prend sa retraite et se consacre entièrement au dessin à la peinture et à la gravure (taille douce et gravure en relief).
Nus et portraits d'après modèle vivant sont ses « gammes », les animaux ses travaux aboutis.

Sa première exposition a eu lieu en octobre 2011 à l'IRCAD à Strasbourg (Institut de Recherche contre les Cancers de l'Appareil Digestif), devant l'équipe qui l'a connue comme médecin anesthésiste.