Animal Art Gallery Paris - "Sur la banquise", par Julie Salmon

SUR LA BANQUISE (ours blanc)

SUR LA BANQUISE (ours blanc)

SUR LA BANQUISE (ours blanc)

"Sur la banquise" est une œuvre de l’artiste Julie Salmon, réalisée avec des encres sur trois couches de papier marouflé, mesurant 50 x 40 cm. Elle présente un ours blanc de face qui semble se diriger vers le spectateur, au vu de la position de ses pattes légèrement inclinées. L’animal regarde droit devant lui, comme s’il adressait son regard au spectateur. C’est un élément important dans une composition puisqu’ici le regard permet une sorte de dialogue entre l’animal et celui qui regarde l'œuvre. De plus, il permet de transmettre des émotions et de dynamiser la composition. L’ours semble avoir envie de découvrir ce qui se cache un peu plus loin. C’est une pièce unique remplie de douceur. 

This is a work by the artist Julie Salmon, made with inks on marouflé paper (3 layers) measuring 50 x 40 cm. It shows a polar bear in front of the viewer, who seems to be moving towards the viewer, given the position of its slightly inclined paws. The animal seems to be looking straight ahead, as if it were looking at the viewer. This is an important element in a composition, since here the gaze allows for a kind of dialogue between the animal and the viewer. Moreover, it allows to transmit emotions and to make the composition more dynamic. The bear seems to want to discover what is hidden a little further away... It is a unique piece filled with softness.

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SALMON Julie Voir la page de SALMON Julie

CARACTÉRISTIQUES

Technique(s)
Peinture
Disponibilité
Oui, l'œuvre est disponible
Nombre d'exemplaires
Œuvre originale, pièce unique. Vendue avec un certificat d'authenticité signé par l'Artiste
Dimensions
50 x 40 cm
Format
Moyen
Fourchette de prix
1 000 à 2 000€

"Sur la banquise" est une œuvre de l’artiste Julie Salmon, réalisée avec des encres sur trois couches de papier marouflé, mesurant 50 x 40 cm. Elle présente un ours blanc de face qui semble se diriger vers le spectateur, au vu de la position de ses pattes légèrement inclinées. L’animal regarde droit devant lui, comme s’il adressait son regard au spectateur. C’est un élément important dans une composition puisqu’ici le regard permet une sorte de dialogue entre l’animal et celui qui regarde l'œuvre. De plus, il permet de transmettre des émotions et de dynamiser la composition. L’ours semble avoir envie de découvrir ce qui se cache un peu plus loin. C’est une pièce unique remplie de douceur. 

This is a work by the artist Julie Salmon, made with inks on marouflé paper (3 layers) measuring 50 x 40 cm. It shows a polar bear in front of the viewer, who seems to be moving towards the viewer, given the position of its slightly inclined paws. The animal seems to be looking straight ahead, as if it were looking at the viewer. This is an important element in a composition, since here the gaze allows for a kind of dialogue between the animal and the viewer. Moreover, it allows to transmit emotions and to make the composition more dynamic. The bear seems to want to discover what is hidden a little further away... It is a unique piece filled with softness.

BIOGRAPHIE

Julie SALMON a grandi à Budapest, où à priori rien ne la prédestinait à la rencontre avec les animaux. À trois ans, un « exil » d'une année (pour cause d'épidémie) la plonge au cœur du monde rural, au contact étroit des habitants de l'étable : veau, vache, cochons, cheval, poules, chiens et chats. Elle passe les jours d'hiver dans la chaleur de l'étable, dans la mangeoire commune, avec interdiction formelle de quitter ce perchoir à cause du risque d'être piétinée.

Elle connait par cœur l'épi du front de la vache, ses grands cils, ses oreilles mobiles, sa langue râpeuse, son haleine de foin, le doux museau velouté du cheval, l'odeur et le contact délicat des porcelets nouveau nés qu'on lui pose dans les bras comme des poupées. De retour à la capitale les visites du jardin Zoologique prennent le relais

Depuis l'âge de cinq ans elle dessine. Le second exil, le plus déterminant, la conduit en France à dix ans. Les Beaux Arts lui sont interdits, vocation contrariée car « non sérieuse » et elle devient médecin. « Tu verras après.... » Elle exerce l'anesthésie pendant ... toute une vie.

Durant sa pratique hospitalière l'illustration médicale fournit la solution de remplacement : films d'animation et manuels d'anesthésie loco-régionale portent sa griffe. Pour échapper au carcan de l'illustration elle se tourne vers le dessin du nu, (« anatomie du corps humain ») d'après modèle vivant, à l'École des Arts Décoratifs de Strasbourg, en auditrice libre. Lors d'un séjour de deux années au Québec, Lorraine Bénic l'initie à la gravure en creux dans son atelier de l'UQUAM.

De ses fréquents voyages en Afrique de l'ouest et au Kenya elle rapporte une moisson d'images qui la hantent : l'Afrique, ses gens, ses animaux. Ils seront ses sources : croquis et photos dormiront jusqu'à la retraite.

Fin 2009 elle prend sa retraite et se consacre entièrement au dessin à la peinture et à la gravure (taille douce et gravure en relief).
Nus et portraits d'après modèle vivant sont ses « gammes », les animaux ses travaux aboutis.

Sa première exposition a eu lieu en octobre 2011 à l'IRCAD à Strasbourg (Institut de Recherche contre les Cancers de l'Appareil Digestif), devant l'équipe qui l'a connue comme médecin anesthésiste.